mercredi, septembre 14, 2005

je me fais critique.

Honteuse introspection parce que nombriliste, je me fais critique.

Les algues poussent à l'envers, parce que je suis bien -- mais pour combien de temps; une semaine, encore, demandait celui-ci..?.. Parce que le confort en est un des plus vides, parce que je me sens bien dans rien, et non pas je «NE» me sens bien dans rien. L'absolu inexistant ne me déplait même pas. Et, et au fond, j'aimerais peut-être qu'il me fasse encore souffrir. Mais inventons donc une vie.

The beautiful lies, "les beaux mensonges" ou alors "la beauté ment" -- merci, toi -- ne seront que plus vraisemblablement faux.

JP

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Ou encore The Beautiful Lies, «La Beauté est, reste, ici, sans bouger. Ci-gît la Beauté.»
That's what I meant.

Anonyme a dit...

Wow.